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Les Togolais attendent toujours le délibéré dans le jugement en appel dans le dossier relatif à l’approvisionnement des produits pétroliers au Togo, dossier dit de « pétrolegate », et dans lequel le directeur administratif et financier du Comité de Suivi des Fluctuations des Prix des Produits Pétroliers(CSFPPP), M. Fabrice Adjakly a été accusé de détournement de fonds d’environ 500 milliards fcfa en complicité avec l’Etat togolais.

La rigueur finit toujours par payer » dit un adage. Cela colle parfaitement à l’Office Togolais des Recettes (OTR) et son commissaire général, Philippe Kokou Tchodié. L’institution se verra décerner au cours d’une soirée les 17 et 18 décembre prochain à Abidjan en Côte d’Ivoire, le « Prix de la meilleure Administration Publique du Togo » ; tandis que son commissaire général va y recevoir le « Prix Panafricain du Meilleur Gestionnaire de Régie Financière du Togo ». L’initiative est portée par l’Observatoire Africain pour la Promotion de la Bonne Gouvernance (O.A.P.B.G) dont les responsables ont tenu un point de presse à l’hôtel 2 février à Lomé pour présenter l’événement.

Le jugement en première instance de l’affaire dite de « pétrolegate », boucle un an ce mois de novembre 2021. En effet, c’est précisément le 04 novembre 2020, que le Tribunal de première instance de première classe de Lomé, statuait dans l’affaire de « diffamation et de publication d’une allégation ou imputation qualifiée de diffamation.

Tous les Togolais et les observateurs qui suivent de près le dossier dit abusivement « Petrolegate », dans laquelle l’on couvre d’opprobres la famille Adjakly de détournement d’environ 500 milliards fcfa dans la commande des produits pétroliers, attendent le 9 décembre prochain pour être situés. Ce jour-là, l’on verra si la Cour d’appel de Lomé confirmera la condamnation qui a été prononcée en première instance en novembre 2020 à l’encontre du directeur de publication du bi-hebdomadaire Alternative et son journal ou elle décidera autre chose. En tout cas ce sera un jour de vérité où certains (membres de la famille Adjakly) devraient voir leur honneur lavé.

©liinformateur.net – Lomé, 29 octobre 2021 -21h24 – Le lundi 25 octobre 2021, le Maire

L’opération déguerpissement tous menée par le Maire du Golfe 5, Kossi Aboka, n’est pas du goût de tout le monde. Gerry Taama, président du Nouvel Engagement Togolais, fait partie des personnes qui n’apprécient pas du tout les méthodes d’Aboka. Lundi 25 octobre, le Maire a fait dégager manu militari tous les occupants des trottoirs dans sa commune. Pour Gerry Taama, Kossi Aboka a manqué d’empathie dans sa méthode.

L’affaire dite de « Petrolegate » dans laquelle, le directeur administratif du Comité de Suivi des Fluctuations des Prix des Produits Pétroliers(CSFPPP) au Togo, Fabrice Adjakly a été accusé par le bi-hebdomadaire L’Alternative, de détournement d’environ 500 milliards de FCFA sur le dos du pauvre contribuable togolais, en connivence avec le gouvernement, continue de passionner le débat au sein de l’opinion.

©liinformateur.net – Lomé, 25 octobre 2021, 20h43 – Sensibilisés depuis 2020 sur les occupations anarchiques

Poursuivant dans sa logique d’équiper les femmes des milieux ruraux à être elles-mêmes des actrices de la défense de leur droits, la fondation Surge et Ambula a procédé à la formation des pairs éducateurs sur les violences basées sur le genre (VBG). Cette rencontre qui s’est déroulée les 17 et 22 septembre derniers dans quelques villages du canton d’Ahépé, une localité située à une cinquantaine de kilomètres de Lomé la capitale, a été couplée d’une formation sur le code de procédure pénale en matière de violence basée sur le genre.

Le processus de décentralisation est bien avancé au Togo. Depuis 2019 le pays a organisé des élections municipales qui ont permis de doter les communes d’élus locaux. Avec l’arrivée de ces élus à la tête des communes, les citoyens devraient en principe être impliqués dans la gestion des affaires de la commune. Il n’en est malheureusement rien, faute de bureau du citoyen dont la mise en place doit faire l’objet d’un arrêté ministériel. Pourquoi ce texte pourtant simple peine à être pris ? C’est ce qui amène l’expert en décentralisation Edoh Pascal Agbové à s’interroger dans une courte réflexion.