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Le Togo est dans l’attente de ses premières doses de vaccins contre le covid-19. Selon la cellule nationale de gestion de la riposte, ces doses pourraient arriver à Lomé ce vendredi 26 février. Les premières personnes qui seront vaccinées sont également déjà connues.

La Commission Électorale Nationale Indépendante (Céni) du Niger a rendu publique les résultats provisoires du second tour de la présidentielle du dimanche 21 février. C’est Mohamed Bazoum qui est arrivé en tête avec 55,57% des voix. Ces résultats restent à confirmer mais déjà l’opposition crie au hold-up électoral.

Il y a 1 an, les togolais se rendaient massivement aux urnes pour l’élection présidentielle du 22 février 2020. Une année après, on n’a toujours pas fini de parler de ce scrutin. L’un des candidats malheureux, Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo refuse de s’avouer vaincu. Pour lui et la dynamique qui a porté sa candidature, la victoire obtenue en février 2020 a été volée par Faure Gnassingbé, déclaré vainqueur par les institutions en charge du scrutin.

Il n’est pas un inconnu de l’opposition au Togo puisqu’il a fait partie des grands combats contre le pouvoir togolais mais l’homme est aujourd’hui livré à lui-même dans son combat contre la maladie. Gérard Akoumey, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est aujourd’hui abandonné de tous. Depuis un Accident Vasculaire Cérébral (AVC), l’homme n’a reçu aucun soutien de nulle part.

Une vieille affaire oppose un conseiller du Mouvement des Républicains Centristes (MRC), le parti d’Abass Kaboua, à son parti. Dans les faits, le conseiller municipal en question accuse le parti de faux et usage de faux lui attribuant une démission de son poste de conseiller municipal, ce que ce dernier réfute. Non content de cette démission, l’intéressé saisi la cour suprême qui s’est déclarée incompétente pour connaitre d’une telle plainte. Le président de la cour s’est même fendue de quelques cours de journalisme à certains médias qui ont chargé la haute instance judiciaire au mépris de la procédure judiciaire.

Accusée par un journal de place d’avoir détourné une rondelette somme de 500 milliards de nos francs dans la commande publique du pétrole, la famille Adjakly continue de clamer son innocence. Vendredi 12 février 2021, les avocats de cette famille ont exposé à la presse les éléments qui attestent que les allégations du journal ne sont qu’ « une légende, une fable, un mythe ». Me Éric-Emmanuel Sossah, resté inébranlable dès le début de l’affaire, fait savoir qu’il « est impossible que les faits imputés aient été envisageables ». A l’en croire, la famille Adjakly ne saurait détourner elle seule une si importante somme dans un comité chapeauté par le ministre du commerce. En plus, il n’y pas que les Adjakly qui bossent au sein du Comité de Suivi des Fluctuations des prix des produits pétroliers (CSFPPP).

Le classement FIFA de janvier 2021 est dévoilé ce jeudi. Il n’y a pas d’énorme évolution si ce n’est le Maroc qui a gagné 2 places au classement Mondial, le Mali en a gagné 3 alors que le Togo, éliminé au premier tour du CHAN, est toujours 128e mondial.

Une heure et quart, c’est le temps qu’il a fallu à Naomi Osaka pour se qualifier pour sa deuxième finale de l’Open d’Australie en écartant Serena Williams en deux sets (6-3, 6-4). La Japonaise affrontera l’Américaine Jennifer Brady et disputera ainsi sa quatrième finale en Grand Chelem.

Le ton est désormais à la fermeté au ministère de la fonction publique, du travail et du dialogue social. Plus rien ne sera comme avant à en croire l’attitude de fermeté qu’affiche le ministre Gilbert Bawara. Après avoir prononcé une sanction disciplinaire contre un fonctionnaire il y a quelques semaines, le ministre récidive avec une nouvelle sanction contre une douzaine d’enseignants dont ceux du défunt Syndicat des Enseignants du Togo.

Depuis le 15 février 2021 en principe, les abords du littoral doivent avoir été libérés par les occupants. Il s’agit de personnes qui y exercent des activités commerciales avec l’autorisation des anciennes délégations spéciales. Ces personnes avaient été sommées depuis 6 mois de libérer les lieux pour la réalisation d’un projet sous régional de résilience des zones côtières. Le sort a voulu que ce soit Jean-Pierre Fabre qui se charge, à l’instar des mairies des Golfes 1 et 6 et Lacs 1 et 3, d’appliquer la mesure de déguerpissement ; ce qui a le don d’agacer les riverains qui imaginent mal Jean-Pierre Fabre les priver de leur pain quotidien. Et pourtant, dans les faits, M. Fabre n’y est pour rien.