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Agbéyomé Kodjo qui se considère toujours comme « le président démocratiquement élu » du Togo continue par narguer le pouvoir depuis son maquis. Cette semaine, il a procédé à de nouvelles nominations de ministres dans son gouvernement fictif. Mais loin de susciter l’intérêt de ses pairs de l’opposition, ils sont nombreux, à l’instar de Gerry Taama, à penser que tout cela fait désordre et doit s’arrêter.

Le Centre des Femmes d’Appui à la Décentralisation (CeFAD) toujours engagé aux côté de la gente féminine pour la sortir du complexe d’infériorité en terme de leadership pour une société équilibrée. A cet effet, il multiplie ses activités ces derniers temps malgré ses maigres ressources.

Les guinéens se sont déplacés nombreux aux urnes dimanche 18 octobre pour le premier tour de la présidentielle. 12 candidats étaient en lice mais 2 font figure de véritables favoris : le sortant Alpha Condé qui brigue un controversé troisième mandat et Celou Dalein Diallo, président de l’UFDG. La journée de vote s’est déroulée dans le calme, un premier test réussi mais le plus dure reste à venir.

Le premier ministre togolais, Victoire Dogbé, a répondu à l’invite au dialogue politique de Jean-Pierre Fabre. L’ancien chef de file de l’opposition pense que le pouvoir devrait ouvrir un dialogue avec l’opposition « sérieuse » pour aplanir les divergences. Pour Mme Dogbé, cette option ne semble pas être à l’ordre du jour.

Le pouvoir mène une lutte acharnée contre le covid-19, cette lutte passe par le respect des mesures barrières par tout un chacun. Pour s’assurer de son effectivité, la force sécurité anti-pandémie (fosap) a été rendue opérationnelle. Son rôle est de veiller au respect des mesures barrières par la population. Seul souci, la fosap semble faire montre de sélectivité dans sa rigueur.

L’annonce du décès de Fambaré Ouattara Natchaba, ancien président de l’Assemblée nationale à qui l’on doit le toilettage de la constitution de 2002, n’a laissé personne indifférent. Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, ce cacique du régime au pouvoir a marqué tout une génération de togolais. Que ce soit en politique ou dans sa carrière universitaire, Fambaré Natchaba a laissé de lui une certaine image que beaucoup n’hésitent pas à saluer.

Fambaré Ouattara Natchaba, ancien président de l’Assemblée nationale Togolaise a tiré sa révérence. L’homme qui est perçu comme l’artisan du toilettage de la constitution en 2002 a été évacué sur Paris en France pour des soins médicaux il y a quelques jours, décédera malheureusement ce jeudi à Lomé. Selon la tradition musulmane, il a été inhumé vendredi 16 octobre.

Les faits remontent à 2016, un homme bossu est retrouvé mort dans la région des savanes (plus de 600 km au nord de Lomé). Très rapidement les soupçons se portent sur certains hommes, mais les investigations menées par la gendarmerie ne permettent pas de les appréhender. 4 ans après les présumés auteurs du meurtre du bossu sont enfin aux arrêts.

L’ancien chef de file de l’opposition, Jean-Pierre Fabre, serait-il devenu un opposant centriste ? Une chose est sûre, entre le radicalisme béat et le réalisme politique, l’homme semble avoir opté pour le second. Le conseil national de l’ANC aux allures de rentrée politique avait tout l’ère d’un repenti des leaders du parti orange pour les méthodes infructueuses utilisées jusqu’à présent en vue de conquérir le pouvoir. Désormais, c’est un nouveau Jean-Pierre Fabre plus pragmatique qui va poursuivre le combat pour l’avènement de l’alternance au Togo.

Il y a du rififi dans la commune d’Agoè-Nyivé 4, le maire de cette localité a été destitué par son conseil le 12 octobre dernier. Une procédure qui fait suite à des actes de malversations financières liés à l’émission de tickets de marché sans l’avis du conseil. Cette destitution est nulle et de nul effet, selon un message abondamment relayé sur les réseaux sociaux, car la destitution n’aurait pas respecté la procédure. Pascal Edoh Agbové, expert en décentralisation, se prononce sur le sujet et renvoie les uns et les autres à la loi. Pour lui, seule la justice peut trancher sur la régularité ou non de la destitution d’Abdoulaye Adamou. Lire sa réaction…