Golfe 5 : Kossi ABOKA explique ses bonnes intentions
©liinformateur.net – Lomé, 29 octobre 2021 -21h24 – Le lundi 25 octobre 2021, le Maire de la Commune du Golfe 5 Kossi Agbenyega ABOKA et ses collaborateurs ont posé un acte pour le moins apprécier par les populations : désencombrement des trottoirs et espaces public. Ce jeudi 28 octobre, dans les locaux de la Mairie d’Aflao-Gakli, devant les hommes de médias, le Maire a tenu à situer l’opinion sur les bonnes intentions de son acte.
Comme si pour se dédouaner, le Maire Kossi ABOKA a réagi en ces termes : « Notre action n’est dirigée contre personne ; c’est pour préserver l’intérêt général » ou encore « La somme des intérêts individuels ne fait jamais l’intérêt général ».
Estimant que son opération de désencombrement des trottoirs et espaces public n’est pas pour faire du tort à la population, le Maire d’Aflao-Gakli a énuméré de façon chronologique les séances de travaux effectuées en amont de cette opération.
« Plus de 10 rencontres ont été faites avec les population à la base que les gens comprennent que les voies publiques ne sont pas des marchés pour y installer des marchandises », a-t-il précisé.
A en croire le Maire Kossi ABOKA plusieurs actions de sensibilisation ont été menées à travers les médias, les voitures sonorisées et ce, avec l’implication des leaders communautaires, religieux et les membres des Comités de développement à la Base de la Commune du Golfe 5.
Avec tous les événements de lundi dernier et ces conséquences, l’on ne peut que dire à l’heure actuelle que le vin est tiré, il faut le boire et passer à autre chose. Loin d’imputé des propos au Maire Kossi ABOKA, l’on estime qu’il serait dans cette logique quand il disait dans ce qui sonne comme une exhortation : « Nous prions tous nos concitoyens d’adhérer à cette vision de faire de notre commune, une commune propre où les rues sont bien entretenues ».
Ceci dit, les opérations vont continuer sans délai et sans pitié pour ceux qui sont encore sur les trottoirs et espace public de manière illégale. En tout cas, c’est qu’estime le Maire.
« Nous ne prenons pas plus de cent (100) ans pour dire la même chose (…) Il est temps qu’on passe à l’action, sinon nous prendrons plus cent ans pour dire la même chose, ça ne changera jamais. Il vaut mieux qu’on commence un jour pour que le développement puisse être une réalité dans notre pays », a conclu le Maire de la Commune du Golfe 5 Kossi ABOKA.