La rigueur finit toujours par payer » dit un adage. Cela colle parfaitement à l’Office Togolais des Recettes (OTR) et son commissaire général, Philippe Kokou Tchodié. L’institution se verra décerner au cours d’une soirée les 17 et 18 décembre prochain à Abidjan en Côte d’Ivoire, le « Prix de la meilleure Administration Publique du Togo » ; tandis que son commissaire général va y recevoir le « Prix Panafricain du Meilleur Gestionnaire de Régie Financière du Togo ». L’initiative est portée par l’Observatoire Africain pour la Promotion de la Bonne Gouvernance (O.A.P.B.G) dont les responsables ont tenu un point de presse à l’hôtel 2 février à Lomé pour présenter l’événement.

Les dirigeants anglophones sont connus pour leur humilité et le président Ghanéen vient encore une fois de le démontrer. Dans un tweet publié sur son compte, Nana Akufo Ado présente ses excuses pour une erreur de jugement qu’il a commise après une promesse qu’il n’est plus visiblement en mesure de tenir. C’est assez rare de la part d’un dirigeant d’admettre s’être trompé mais c’est bien ce que le numero un Ghanéen vient de faire.

« Le Mali et la France constituent un vieux couple, il y a par moments des scènes de ménage, mais je ne crois pas que ça va aboutir au divorce. », c’est par ces mots prononcés à Genève où il est en visite que le premier ministre de la transition au Mali, Choguel Maïga a tenté d’éteindre la braise avec Paris. Depuis quelques jours, le torchon brule entre Bamako et Paris à la suite des déclarations de M. Maïga devant la tribune des Nations-Unies.

La Cédéao (Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) s’est réunie le 16 septembre dernier pour se prononcer sur les cas du Mali et surtout de la Guinée Conakry où un coup d’état a renversé Alpha Condé depuis deux semaines déjà. Les chefs d’Etat de la communauté ont choisi l’aile dure face à ces deux pays, distribuant menaces à volonté au cas où les conditions de la transition ne sont pas respectées. Une ligne dure qui sonne mal pour les populations de la communauté qui peinent à comprendre le peu d’anticipation dont font montre ces chefs d’Etat, préférant se complaire dans un rôle de sapeur-pompier.

L’ancien président Tchadien Hissen Habré est mort au Sénégal ce mardi 24 août 2021 à l’âge de 79 ans. L’homme vivait au Sénégal depuis plus de 20 ans et y purgeait une peine de prison à perpétuité depuis 3 ans au moins. Hissen Habré serait officiellement décédé du covid-19. Sa famille reproche à l’Etat Sénégalais de ne l’avoir pas assez protégé.

La troisième édition des Grands Prix du Leadership Africian 2021 sera parrainée par l’amazone des temps modernes Madame Kady Zagré Maiga, PDG des groupes SOCOZAF-BTP et SAFAYA-INTERNATIONALE. Celle qui est également présidente des femmes entrepreneurs du Burkina-Foso a accepté accompagner cet événement dont l’objectif est de célébrer les leadership africain.

Après la guerre, c’est la paix ! Ainsi peut-on résumer le feuilleton politique ivoirien qu’animent Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara depuis 2010-2011. Une nouvelle page du scénario vient de s’écrire aujourd’hui à Abidjan. Les deux acteurs politiques se sont rencontrés mardi 27 juillet en fin d’après midi au palais présidentiel de la capitale économique ivoirienne.

Après avoir suspendu sa coopération miliaire avec Bangui, Paris annonce « la fin de l’opération Barkhane en tant qu’opération extérieure ». Barkhane c’est le nom de l’opération militaire française au Mali dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans ce pays et dans le Sahel. S’exprimant à l’occasion d’une conférence de presse en amont du sommet du G7, Emmanuel Macron s’est prononcé sur l’avenir de cette mission française forte de 5.100 hommes.

Damien T., l’auteur de la gifle au président de la République française Emmanuel Macron, a été condamné ce 10 juin à 18 mois de prison dont 14 avec sursis pour cette agression. Il a été reconnu coupable de violence sur personne dépositaire de l’autorité publique.

Le président français Emmanuel Macron a été agressé mardi 08 juin 2021 alors qu’il était en déplacement dans le Tain. Au moment où il se préparait à un bain de foule avec une petite foule venue l’accueillir, on voit un homme agrippé une main du chef de l’Etat français avant de lui asséner une gifle de l’autre main. Les services de sécurité ont immédiatement maitrisé l’agresseur pendant que Macron poursuivait son bain de foule. Un acte immédiatement condamné par l’ensemble de la classe politique française mais qui n’est pas si isolé que ça ; on peut même parler d’une tradition française d’agression de chefs d’Etat.