linformateur

La décision de suspension des activités des universités privées prise par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche professeur Majesté Ihou Watéba, passe mal aux yeux des responsables de ces universités. Le Conseil des Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur (CEPES) prépare la riposte ; une réunion des universités privées membres du CEPES s’est déjà tenue sur la question.

Le Togo compte des dizaines d’universités privées. Chaque année plusieurs autres naissent avec des offrent à la limite utopiques qui s’arriment à une qualité médiocre de la formation ; résultats, des centaines de diplômés sans grande compétence déversés chaque année sur le marché du travail. Pour le nouveau ministre de l’enseignement supérieur, professeur Majesté Ihou Watéba, plus rien ne sera comme avant. Alors que la plupart de ces universités se sont lancées dans des campagnes publicitaires pour attirer les étudiants et que certaines avaient déjà fixé des dates de reprise des cours, le ministre les invite à tempérer les ardeurs le temps de lui permettre de faire un tri.

Tous les élèves ont repris le chemin de l’école au Togo depuis le 02 novembre dernier. Afin de leur assurer une bonne rentrée scolaire, le Représentant pays du Haut Conseil des Togolais de l’Extérieur (HCTE) pour le Canada, Ayena Kodjo Dagbedji à travers un projet financé par la Bourse HCTE Canada, a offert un important lot de fournitures scolaires aux meilleurs élèves à l’examen du Certificat d’Etude du Premier Degré (CEPD) de la préfecture d’Anié.

Les américains retiennent leur souffle dans l’attente du nom du vainqueur de la présidentielle du 03 novembre. Pour l’heure, le démocrate Joe Biden fait la course en tête avec au moins 248 grands électeurs remportés contre 213 pour Donald Trump. Justement ce dernier semble avoir opté pour la contestation électorale.

Le verdict très attendu dans le procès qui oppose Fabrice Adjakly au journal l’Alternative, est tombé mercredi 04 novembre 2020. Le journal et son directeur de publication, Ferdinand Ayité, ont été reconnus coupables de diffamation sur la personne de Fabrice Adjakly. Le juge a condamné et le journal et son directeur de publication à verser 2 millions de francs CFA chacun au plaignant.

On commence par en savoir un peu plus sur le rapport d’audit commandité par le gouvernement togolais pour faire la lumière sur les supposées malversations financières attribuées au CSFPPP (Comité de Suivi des Fluctuations des Prix des Produits Pétroliers). Des révélations faites par l’hebdomadaire « Le Médium » permettent de s’interroger sur le réel but de cet audit qui semble avoir été fait à charge contre certaines personnes et à décharge pour certains. Le moins que l’on puisse déduire à la lecture de certaines conclusions du rapport d’audit sur le pétrolegate, c’est qu’il renferme beaucoup d’insuffisances.

La Commission Electorale Indépendante (CEI) de Côte d’Ivoire a rendu public les résultats provisoires de la présidentielle du 31 octobre dernier. Sans surprise, les choses ont tourné à l’avantage du président sortant Alassane Ouattara qui est crédité de plus de 94% des suffrages. Les trois autres candidats de l’opposition se sont partagés les 5% restants.

Plus de 2 millions d’élèves ont repris les chemins de l’école au Togo lundi 02 novembre 2020. C’est la rentrée scolaire après plus de 7 mois de vacances pour la plupart d’entre ces élèves ; ces longues vacances sont dues à la pandémie du coronavirus qui continue d’ailleurs par sévir dans le monde. Pour éviter que la reprise des classes ne soient l’occasion d’un rebond de la maladie, le chef de l’état togolais Faure Essozimna Gnassingbé, a lancé une invitation aux différents acteurs du système éducatif togolais.

La cérémonie annuelle de remise de diplôme de l’Institut Africain d’Administration et d’Études Commerciales (IAEC) s’est tenue samedi 31 octobre à Agora Senghor de Lomé. Était présent pour l’occasion, le fondateur de l’IAEC Bassabi Kagbara également président directeur général du groupe BK. Au cours de cette cérémonie, une soixantaine d’étudiants ont reçu leur diplôme de fin de formation, devenant ainsi apte pour le marché de l’emploi Africain.

L’impact négatif du covid-19 sur les entreprises a occasionné des licenciements dans bon nombre de sociétés et ceci, de manière abusive dans certains cas. C’est le cas par exemple de certaines sociétés de la zone franche ; ce que dénonce l’Union syndicales des travailleurs de la zone franche d’exportation (USYNTRAZOFE). Elle revient sur la situation de 170 travailleurs qui ont été « abusivement » licenciés en pleine pandémie.